Exploration des territoires de l'Adour : nature, histoire humaine, épaves fluviales, Urbex et miscellanées de son auteur
lundi 25 novembre 2019
Réédition de "Iscle"
Voici le retour de "Iscle", réédité aux éditions de la Crypte pour le début de l'année. Nouvelle maquette, nouvelle couverture pour un nouveau livre mis en page par Mathieu Béchac, maquettiste PAO.
dimanche 17 novembre 2019
lundi 11 novembre 2019
A la recherche du goût perdu en Nouvelle-Aquitaine
Une émission de France 3 pour laquelle j'ai eu le plaisir de participer en tant que gribouilleur des choses de l'imaginaire...
Ce soir à 23 heures !
Et en replay ici
dimanche 3 novembre 2019
Le Bachet de l'Adour
Le
bachet, représenté sur cette photo, arbore une voile rectangulaire
mais on peut également noter que son pont est cabané, protection
nécessaire au transport des marchandises sensibles aux intempéries,
comme la chaux, le plâtre ou la farine. Les bachets, embarcations de
douze à dix-huit mètres de long, possédaient une quille offrant un
fort tirant d’eau ce qui ne leur permettait pas de naviguer dans
des basses eaux. Outre la voile, ils pouvaient être manœuvrés avec
des avirons ou une perche. Un gouvernail positionné en poupe, fixé
sur un tableau arrière, en permettait le contrôle directionnel. Ils
étaient également utilisés pour le transport des charges lourdes,
telles pierres de Bidache, graviers, sables ou bois. Cependant, ces
embarcations, moins chères à l’achat que les gabares, chaviraient
régulièrement lors des débarquements des marchandises. Ce manque
de stabilité n’en faisait pas un bateau toujours apprécié des
mariniers. Les derniers bachets disparaissent des paysages du
bas-Adour vers la fin des années 60.
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Bachet à quai à Peyrehorade |
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Bachet à la coque décorée sur Bidache |
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Bachet en réparation ou finition dans les chantiers de Urt |
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